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chapitre 1 : LA FORET DE GRESIGNE ET LES PAYS GRESIGNOLS AUX TEMPS LES PLUS RECULÉS

Vue du sud, à partir des routes venant d’Albi ou de Montauban, la Grésigne constitue la ligne d’horizon située au nord et apparaît comme un massif sombre surmonté de hautes croupes boisées. On reconnaît de loin le massif forestier dont les pentes dévalent vers la vallée de la Vère et se terminent à l’est parLire la suite « chapitre 1 : LA FORET DE GRESIGNE ET LES PAYS GRESIGNOLS AUX TEMPS LES PLUS RECULÉS »

chapitre 7 : A LA VEILLE DE LA REVOLUTION, LE PROJET DU CANAL DE LA VERE ET L’INFEODATION DE LA FORET DE GRESIGNE À MAILLEBOIS

Première partie : une double spéculation sur la vente des bois de Grésigne et sur leur mode de transport Autour des années 1750, tandis que Diderot commence à publier l’Encyclopédie qui représente la somme des sciences et techniques de l’époque et que Louis XV s’affaire auprès de ses nombreuses maîtresses, tous ceux qui détiennent desLire la suite « chapitre 7 : A LA VEILLE DE LA REVOLUTION, LE PROJET DU CANAL DE LA VERE ET L’INFEODATION DE LA FORET DE GRESIGNE À MAILLEBOIS »

chapitre 9 : UNE FORET IMPÉRIALE, ENJEU DE RIVALITES ENTRE PUICELCY ET MONTMIRAL

La Révolution achevée, la mode n’est plus, dans le domaine des transports, à creuser ces voies d’eau navigables que le siècle de Louis XIV développa et multiplia à travers la France entière pour éviter le coût trop élevé des charrois par voie de terre. Sous le Consulat, on ne reprendra donc pas le projet deLire la suite « chapitre 9 : UNE FORET IMPÉRIALE, ENJEU DE RIVALITES ENTRE PUICELCY ET MONTMIRAL »

chapitre 11 : DE 1850 A NOS JOURS, APOGEE ET DECLIN DE LA VIE FORESTIERE TRADITIONNELLE EN GRESIGNE

Nous voilà un demi-siècle après la Révolution : le territoire de la forêt de Grésigne a été rattaché en 1814 à la commune de Castelnau-de-Montmiral au détriment de celle de Puicelcy, et le pouvoir central vient de supprimer de façon définitive tous les droits d’usage dont la population des communes périphériques profitait en forêt depuisLire la suite « chapitre 11 : DE 1850 A NOS JOURS, APOGEE ET DECLIN DE LA VIE FORESTIERE TRADITIONNELLE EN GRESIGNE »

Chapitre 15 : AU DEBOUCHE DE LA FORET DE GRESIGNE, LA BASE DE LOISIRS VERE-GRESIGNE

La forêt de Grésigne, dont il est question dans cette étude sur son histoire, ne peut pas être considérée comme un territoire inaccessible et replié sur lui-même. Son histoire démontre que, même dans les périodes les plus terribles, le « sanctuaire » de la Grésigne vivait en symbiose avec son environnement naturel et humain. Mais, de nosLire la suite « Chapitre 15 : AU DEBOUCHE DE LA FORET DE GRESIGNE, LA BASE DE LOISIRS VERE-GRESIGNE »

annexe 1 : LES MEMOIRES DE BOURROUL SUR LE CANAL DE LA VERE

Les arguments du Sieur Bourroul, ingénieur géographe du Roi, devant les Etats du Languedoc à Montpellier (6 janvier 1748)  Intitulé « Navigation projetée sur la Rivière de Vère », ce premier mémoire de Bourroul a été présenté le 6 janvier 1748 à Montpellier auprès de « Nos Seigneurs des Etats (du Languedoc) », dans leLire la suite « annexe 1 : LES MEMOIRES DE BOURROUL SUR LE CANAL DE LA VERE »

annexe 2 : LE MEMOIRE DES EAUX-ET-FORÊTS SUR LA FORET DE GRESIGNE EN 1754

Il s’agit là d’un document remarquable de précision et de concision en matière de gestion forestière, dont les conclusions faisaient apparaître que la concession de la jouissance indéfinie des droits de péage pour rentabiliser le futur canal de la Vère serait profitable au Roi, non seulement pour gérer avec profit la forêt de Grésigne àLire la suite « annexe 2 : LE MEMOIRE DES EAUX-ET-FORÊTS SUR LA FORET DE GRESIGNE EN 1754 »